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domingo, 2 de septiembre de 2007

( h o l A !)

La ruptura de su corazón genera en Sergio anticuerpos de odio a una ciudad......Un lugar lleno de adolescentes tardíos, chicas que hacen llorar, borrachos preocupados por asuntos que no podrían manejar aun sobrios...y canciones que dicen lo que todos hubieran querido decir (si supieran que quieren decir algo).

CAPITAL,
TODO EL MUNDO VA A BUENOS AIRES

Comme chaque année, le Syndicat
Français de la Critique de Cinéma
a remis son Prix Découverte de la
Critique lors des Rencontres
de Cinémas d’Amérique latine
de Toulouse
(16-25 mars 2007)
(www.cinelatino.com.fr)

CAPITAL,

TODO EL MUNDO VA A BUENOS AIRES
d’Augusto Gonzalez Polo
Argentine, 1h50, 2007

« Pour ses qualités d’écriture
et la sensibilité avec
laquelle est captée le désarrois
d’un jeune homme et sa
reconquête d’identité,
sujet rarement envisagé
du côté masculin d’autant
plus remarquable qu’il est
issu d’une culture encore
très marquée par une
tradition machiste »

Le Jury était composé de :
Christophe Chauville (Repérages),
Heike Hurst (Jeune Cinéma)
et
Dominique Martinez (Positif)

His broken heart makes Sergio reject Buenos Aires......A city of late adolescents, girls that make you cry, drunks worried about matters they couldn´t handle even if sober...and songs saying all that they would have wanted to say (if they only knew that they needed to say something)

(sinopsis del programa del festival de Toulouse 07):
A la suite d'une rupture qui l'a beaucoup affecté, Sergio est retourné dans sa lontaine province, mais il va revenir à Buenos Aires car il doit répondre devant le juge d'une reconnaissance en paternité. Il va retrouver la vie « porteña », ses amis et… ses problèmes sentimentaux. Cette comédie d'un romantisme « postmoderne » traite du problème du déracinement des jeunes un peu paumés, découvrant une capitale froide, sombre et peu accueillante. Elle est filmée de manière assez étonnante et avec peu de moyens, mais égrène avec beaucoup de fraîcheur et de fausse décontraction tous les topiques d'une adolescence éternelle. Excellente interprétation d'Alfonso Tort découvert dans 25 Watts et protagoniste de Crónica de una fuga.

Sein gebrochenes Herz bringt Sergio dazu, Buenos Aires zu hassen… Eine Stadt voll von zu alt gewordenen Jugendlichen, Frauen, die dich zum heulen bringen, Betrunkene, die sich um

Dinge sorgen, die sie auch nüchtern nicht geregelt bekommen würden… und Musik, Musik die alles sagt…

Capital (Todo el mundo va a Buenos Aires) ist der erste Spielfilm des Regisseurs und wurde ganz ohne externe Produzenten oder staatliche Hilfe realisiert. Im Jahr 2007 wurde er auf dem Festival des lateinamerikanischen Films in Toulouse (19° Rencontres Cinemas d’ Amerique Latine de Toulouse) als bestes Erstlingswerk gefeiert. Er wurde bereits

erfolgreich auf mehreren Festivals gezeigt.

Prêmio Descoberta do Festival Encontros de Cinemas da América Latina de Toulouse.

Destinado a primeiros e segundos filmes, este prêmio foi atribuído ao filme argentino por "suas qualidades de escrita e a sensibilidade com a quam é captado o desassossego de um homem e sua reconquista de identidade, tema rara vez proposto do lado masculino, o que é mais notável quando procede de uma cultura ainda muito marcada por uma tradição machista", segundo as considerações do júri.

"Capital, todo el mundo va a Buenos Aires" é o primeiro longa-metragem de ficção de González Polo, cineasta que trabalha para a televisão e é autor de vários curtas-metragens.

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domingo, 2 de septiembre de 2007

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3 comentarios:

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